jeudi 24 septembre 2009
Islande : Reykjavik
Nous sommes bien arrivés à Keflavik, l’aéroport de Reykjavik, par Icelandair, la compagnie nationale. Un saut de puce durant lequel nous avons eu gratuitement droit à 1 café et 1 thé with milk quand même, pour le reste il fallait aligner les Euros. Nous, je sais pas pourquoi on va essayer d’en lâcher le moins possible. Un coup de blues peut être, après avoir manger des patates pendant 15 jours au retour d’Australie. Qui sait ? Les douaniers islandais, on ne les a pas vu, mais Médor est venu nous renifler comme si nous avions des têtes de drogués. Nous avons fait le tour de notre voiture de location plusieurs fois pour éviter de nous faire arnaquer (gros risque ici). Ce van, d’origine asiatique, a l’avantage d’avoir des gros pneus (la lave ça coupe) et une vraie roue de secours pour faire de la piste, fini la galette du bricolo. Le sol Islandais est constitué 15% de glaciers (avec le + grand glacier d’Europe = en superficie à la Corse), 40% de sable, 25% de lave, 20% de pâturages et 1% de terres cultivables ( tout est donc importé, enfin presque). Reykjavik « la ville des fumées » est une capitale de 200000 habitants(2/3 de la population globale de l’île) et malgré son nom, point de pollution insoutenable à l’horizon. Les fumées viennent du sol. La nuit tombe lentement et les deux néons de la capitale viennent de s’allumer (éblouissant). Nous avons mangé dans un fast food tenu par une américaine d’origine italienne (discussion sympa sur NY) et nous dormons dans une guesthouse en plein centre de la mégalopole. Trop tard pour les photos.