vendredi 19 avril 2013

Ajaccio - Propriano



Nous avons rapidement commuté pour des vêtements d’été : bermuda, tongues, car le soleil est bien là. Même les corses poussent un soupir de soulagement car l’hiver a été terrrrrriblement humide et froid qu’ils disent. Les iles sanguinaires, à l’ouest d’Ajaccio, ne sont peut être pas aussi rouges qu’on pourrait le penser mais l’endroit est magique : la mer et le ciel azur, ça sent bon, des tapis de fleurs, l’air pur et personne à l’horizon, il y’a pire. Après Porticcio, qui n’offre que peu d’attrait, deux belles plages se suivent sur la côte ouest : Agosta et Isolella. Les maillots de bain sont de sortie et nous on en profite pour piqueniquer sous un pin maritime.
En grimpant sur la montagne et après 10 km de virolos où on a pu tester la tenue de route et la souplesse de la DS5, le village de Coti Chiavari apparaît avec une cinquantaine de maisons et  sa petite église en pierre. Les routes sont étroites, bordées  de chênes liège,  d’eucalyptus, d’oliviers et des fleurs partout. Nous avons visité le site de Filitosa présenté comme la capitale préhistorique de la Corse avec ses 8000 ans de mystère et d’histoire. Mais des menhirs taillés et gravés par des sauvages, il y a si longtemps, c’est moyennement passionnant quand même.
Ce soir nous nous sommes arrêtés à Propriano dans un hôtel avec piscine où j’ai été le premier baigneur de l’année, dixit le cuistot du restaurant, 15° ça calme les ardeurs du touriste. 



   




Coti Chiavari




                 Site de Filitosa
Les Iles
Sangui-
naires







Plage d'Agosta